Ce week-end est pasé très vite (comme d'habitude) !
Samedi, on profite du beau temps pour terminer de bichonner la moto avant de la ramener chez Acte 3.
Samedi soir, on remonte vers Strasbourg. Le concert doit commencer à 20h30 et nous ne prenons la route qu'à 19h15 - ne me regardez pasz, c'est à cause de David qu'on est en retard !
Lorsqu'on arrive à proximité du Parc des Expo de Strasbourg, nous avons été devancé par plusieurs centaines de personnes dont les voitures occupent le moindre recoin du quartier. Finalement, on se déniche une petite place près de la piscine et on marche quelques minutes pour rejoindre le Rhenus, entouré de palissades (travaux du tram obligent !)
La salle est déjà très pleine, pluieurs milliers de personnes se pressent près de la scène et sur les gradins, et on se faufile sur un escalier pour s'asseoir sur les marches.
A 20h45, le concert commence ...
Des effets visuels avec des animations sur écrans géants dans un style "Tim Burton meets The Wall", un show de lumière spectaculaire, et les chansons du houvel album Alice et June pour occuper le premier tiers du concert, embrayant ensuite sur l'album précédent...
Petite pause, dans la pénombre, un piano est poussé sur la scène, chagement de guitares, et Nicolas Sirkis et deux guitaristes viennent s'installer sur une avancée de la scène, près du public, pour interprêter en accoustique quelques chansons, en commençant par Miss Paramount et le Boukistan, pour le plus grand plaisir de David !
Retour sur la grande scène (décorée de gazon, touffe de roseaux, fleurs géantes et arbres morts) pour un medley de chansons des derniers albums.
A chaque extinction des lumières, toute la salle hurle de façon assourdissante et réclame "une autre ! une autre! " et Nicolas Sirkis n'en finit pas de saluer, de remercier Strasbourg et l'Alsace "le meilleur accueil", "la raison pour laquelle on fait ce métier", "on essaiera de revenir", "peut-être au zénith" en constructtion à Hautepierre...)
A 22h40, Obscurité dans la salle, puis les spots revienent progressivement comme un thème bien connu se fait entendre: Infdiochine termine le concert avec "L'aventurier", dont les paroles sont scandées par la foule en délire, face au groupe qui de toute évidence profite de ce dernier moment, tandis que Nicolas Sirkis fait monter des fans du premier rang sur la scène.
En résumé, un concert magnifique, bien loin d'une simple interprêtation des titres des albums (ce qui m'avait déçue lors du concert de Gérard de Palmas l'année dernière, on a eu droit ici à une prestation artistique très riche, avec beaucoup de comunication entre la salle et le groupe, bref une excellente soirée...
David a bien évidemment tenté d'enregistré quelques instants du concert sur son téléphone portable (il n'était pas le seul, la salle était partagée entre porteur de briquets allumés et portables en train de filmer) mais les lumières très blanches au dessus de la scène et le brouhaha du public ont quelque peu compromis le résultat...
Samedi, on profite du beau temps pour terminer de bichonner la moto avant de la ramener chez Acte 3.
Samedi soir, on remonte vers Strasbourg. Le concert doit commencer à 20h30 et nous ne prenons la route qu'à 19h15 - ne me regardez pasz, c'est à cause de David qu'on est en retard !
Lorsqu'on arrive à proximité du Parc des Expo de Strasbourg, nous avons été devancé par plusieurs centaines de personnes dont les voitures occupent le moindre recoin du quartier. Finalement, on se déniche une petite place près de la piscine et on marche quelques minutes pour rejoindre le Rhenus, entouré de palissades (travaux du tram obligent !)
La salle est déjà très pleine, pluieurs milliers de personnes se pressent près de la scène et sur les gradins, et on se faufile sur un escalier pour s'asseoir sur les marches.
A 20h45, le concert commence ...
Des effets visuels avec des animations sur écrans géants dans un style "Tim Burton meets The Wall", un show de lumière spectaculaire, et les chansons du houvel album Alice et June pour occuper le premier tiers du concert, embrayant ensuite sur l'album précédent...
Petite pause, dans la pénombre, un piano est poussé sur la scène, chagement de guitares, et Nicolas Sirkis et deux guitaristes viennent s'installer sur une avancée de la scène, près du public, pour interprêter en accoustique quelques chansons, en commençant par Miss Paramount et le Boukistan, pour le plus grand plaisir de David !
Retour sur la grande scène (décorée de gazon, touffe de roseaux, fleurs géantes et arbres morts) pour un medley de chansons des derniers albums.
A chaque extinction des lumières, toute la salle hurle de façon assourdissante et réclame "une autre ! une autre! " et Nicolas Sirkis n'en finit pas de saluer, de remercier Strasbourg et l'Alsace "le meilleur accueil", "la raison pour laquelle on fait ce métier", "on essaiera de revenir", "peut-être au zénith" en constructtion à Hautepierre...)
A 22h40, Obscurité dans la salle, puis les spots revienent progressivement comme un thème bien connu se fait entendre: Infdiochine termine le concert avec "L'aventurier", dont les paroles sont scandées par la foule en délire, face au groupe qui de toute évidence profite de ce dernier moment, tandis que Nicolas Sirkis fait monter des fans du premier rang sur la scène.
En résumé, un concert magnifique, bien loin d'une simple interprêtation des titres des albums (ce qui m'avait déçue lors du concert de Gérard de Palmas l'année dernière, on a eu droit ici à une prestation artistique très riche, avec beaucoup de comunication entre la salle et le groupe, bref une excellente soirée...
David a bien évidemment tenté d'enregistré quelques instants du concert sur son téléphone portable (il n'était pas le seul, la salle était partagée entre porteur de briquets allumés et portables en train de filmer) mais les lumières très blanches au dessus de la scène et le brouhaha du public ont quelque peu compromis le résultat...